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 Les périples de Chevaliers

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Toluem
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Toluem


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MessageSujet: Les périples de Chevaliers   Les périples de Chevaliers Icon_minitimeDim 5 Aoû - 8:45

Par chance, j'ai pu me dégotter un petit carnet de voyage en faisant le tour de Vesperae, et depuis peu, en fait depuis les premières pages qui vont suivre et que j'ai vécu, j'ai décidé d'y encrer mes périples, mes émotions et des périodes de ma vie.

Je vous laisse maintenant, vous qui avez trouvez mon carnet et qui impatient de savoir ce qui m'est arrivé allez le lire, déchiffrer lettre après lettre, mot après mot, phrase après phrase...

Soit je suis mort, soit vous faites partit de la guilde des Derniers*Chevaliers car ce carnet est libre, et chacun peu le lire à tout moment. Chacun peu aussi y contribuer et raconter ses propres aventures.

Car un seul homme ne suffit pas à raconter un monde, chacun aura une touche personnelle, une vision personnelle de Vesperae, alors bonne lecture ou bonne écriture, dans tous les cas, les âges passeront sur ces feuilles relié de cuire...



Toluem : Périple premier :

Je courais et courais, et courais encore... Je n'avais pas arrêté depuis des heures, et des heures durant je ne savais pourquoi je faisais ça... La route était longue, à chaque pas, un nouveau paysage, puis un nouveau pas suivit d'un nouveau paysage. Rien ne restait tout n'était qu'éphémère. Je courais et courais encore sans jamais faire de hâlte.

Puis je me suis arrêté, au milieu d'une forêt me demandant ce que je faisais là... Pas de réponse. Je me remis à courir, et courir encore, encore et toujours, avec un nouveau paysage à chaque pas, un pas puis un autre, encore un autre, de foulés en foulés je me retrouvais au milieu de nul par, mais toujours autre part, toujours différent, toujours éphémère...

Pourtant, courant sans raison, je me mis à réfléchir à ma condition : "pourquoi je cours?" mais je ne m'arrêtais pas, inlassablement poussé par un force que je ne connaissais pas encore. Et je courais de paysage en paysage, des forêts aux montanges, des plaines aux étangs, des marais aux deserts, je ne m'arrêtais plus. Pourtant toujours cette question à l'esprit "pourquoi je cours?"

Je n'y trouvais point de réponse et continuais incompréhensiblement ma course éphémère. J'avais commencé le jours ; la nuit avait suivi, puis le jours était revenue quelques heures plus tard. C'est en voyant l'aube se lever, portant ces bras jusque sur l'herbe où j'étais, toujours en train de courir, que je compris : " pourquoi je cours ?".

Je savais la réponse mais ne me l'avouais pas et je continuais des heures durant, à en perdre le souffle, à perdre mes repaires, je ne savais plus où j'étais quand j'étais, et pourtant dans ma tête raisonnait la question suivit de la réponse.

Elle était au début inaudible, mais plus j'avancais, plus je sentais mes timpans battre fort et plus la formule que je voulais ni entendre ni accépter, prenait de l'impacte et pénétrait mon moi intérieur!

Je m'arrêtais un instant et là, dans mon souffle aletant l'on put entendre : "Le temps...". Les yeux écarquillés, le souffle coupé, je m'écroule par le manque d'hoxygène, je suffoque et m'étouffe moi même. Pourtant, je ne me débats pas, comme-ci je sortais de mon placenta, il me fallait quelqu'un pour me tapper dans le dos, et pourtant personne ne vint.

Je me vis sombrer dans les ténébres de plus en plus présente et c'est alors que je me vis moi ; j'étais moi, mais je me voyais en même temps, et ce moi du dehors se mis à courir, et je m'épuisais de le voir courir, c'est alors que je lui hurla pour qu'il m'entende : "POURQUOI COURS-TU?".

Aucune réponse, rien, le vide, il ne courait plus et réfléchissait : à ma question ? Je ne saurais le dire, mais très vite, il se remis à courir, sans but, les yeux vides, le visage sans expression, il n'y avait que l'essouflement de plus en plus intense, accompagné du palpitant qui était sur le point de s'emballer!

Mais... les ténébres environnantes se dissipèrent, je pris compte enfin de la réalité, et d'un instinct de survie, je me suis mis en position assise, me relevant d'un coup sec et net pour ouvrire là bouche et réspirer.

"J'avais oublié à quel point l'air est pur ici, j'avais oublié la beauté de ce monde que jadis je n'osais parcourir! Et maintenant que celà est fait, j'oublie l'essentiel... Vivre!

Pendant des heures et des heures, j'ai courru et courru, j'ai fuis, j'ai fuis le temps que ne faisait que me rattraper, j'ai fuis la beauté du monde pour fuir le temps et pourtant... et pourtant le temps à continué sa route, il ne s'est pas arrêté pour moi, mes cheveux ont poussé, ma barbe me pique, mes rides se creusent. Je ne peux rien y faire, le temps est immuable, le temps est universel. Je ne peux lutter contre lui, et personne ne le peu, et malgré tout j'ai lutté et au final j'y ai perdu. Car le temps que j'ai passé à lutter, je l'ai perdu pour explorer, je l'ai perdu pour aider mon prochain, je l'ai perdu par égoïsme envers mes obligations, je l'ai perdu pour un caprice, une peur que chacun de nous cache, la peur de la mort, la peur que le temps ne nous dépasse et que l'on ne puisse le rattrapper...

Hélas le temps nous dépassera toujours, le temps sera là pour notre mort, comme il a été là pour notre vie car sans lui, ni vie ni mort, il ne reste rien. Le temps ne se maîtrise pas, le temps ne s'aprivoise pas, ne se dompte pas. Ni ami, ni ennemi, il n'est rien et tout à la fois...

Se battre contre le temps... Il n'y a qu'un seul moyen, vivre le temps, vivre le temps à plein temps, ne pas en perdre une goutte pour qu'il s'épuise de manière honorable, que vous l'aidiez à avancer, voilà maintenant ce que je fais, je vie mon temps, votre temps, le temps de chacun, celui que chacun devrait vivre, celui que chacun peu vivre à tout moment...

Désormais, je cours à travers monts et rivières mais pour des raisons différentes. Je ne fuis plus temps mais l'accompagne, le suit, et chaque personne que je croise sur la route, je lui apporte mon aide, à chaque moment de course, je regarde autour de moi et apprécie les richesses de la natures.

Lorsque je regarde un monstre, ce n'en est plus un. S'il m'attaque ou attaque quelqu'un d'autre, je nous défendrais, mais je ne serais plus l'attaquant car en chaque être vivant ou mort il existe une étincelle de vie qui s'appelle le temps, chose immuable avec lequel on doit vivre en parfaite harmonie..., pour vivre!

Je n'ai plus qu'une chose à dire, VIVONS!"





Edit HRP : Posez vos commentaires, je suis fatigué j'vais me coucher... Je les lierais ci l'envie vous vient..., mais à un autre moment Smile

Edit 2 HRP : Vive la musique et les clips, j'ai été inspiré pour cette histoire par mes précédents voyages dans Vesperae et du clip et la musique "Right Here, Right Now" de Fatboy Slim. Sur ce, à bientôt!
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Toluem
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MessageSujet: Re: Les périples de Chevaliers   Les périples de Chevaliers Icon_minitimeJeu 9 Aoû - 23:21

Toluem : Préiple second :

Cela faisait déjà plusieurs jour que j'avais décidé de vivre pour moi en vivant pour les autres et pour le bien. Plusieurs personnes avaient déjà eu droit à mon aide, mais plus le temps passait et plus je traînais dans le coin de la forêt des ombres.

Cet endroit était surpeuplé de brigand, de roublard, et même d'assassin sans peur, sans foi ni loi - à part la leur-. Souvant je me réveillais dans le lit de l'auberge la plus proche, ou bien dans une prairie surveillé par une petite fée... A chaque fois, je me réveillais avec cette impression de nullitée ; je n'étais pas suffisement fort pour défendre mon prochain étant donné que je ne pouvais même pas me défendre moi-même...

Je me mis alors dans l'esprit d'apprendre à combattre, esquiver, soigner..., mais ne me trouvant aucun maître d'arme, il me fallut me mettre à combattre des monstres.

Deux journées plus tard, alors que je n'avais apprit que peu de chose, mes oreilles entendirent au loin le nom de "Drake"...

Une grenouille mutante s'acharnait sur mes membres, mais je ne bougeais plus, le regard dans le vide et pourtant le regard plein de souvenir. Alors que le mot Drake était prononcé, lma mémoire se mit en route et fit défiler la scène du vol, puis du Roi, des Slayers, des sages et du ver, et enfin du spectre!

"J'avais oublié tout cela... J'avais oublié mon alégence au roi... aux Slayers... Il faut que j'y retourne!"

Aussitôt dit, aussitôt fait! Je m'en retournais vers Gathol acheter le meilleur équipement que je connaissais, prendre un plein de potion et me voilà repartit à l'aventure!

Après avoir traversé la forêt et le cimetierre sans emcombre, j'arrivais enfin devant la porte du donjon de Drake! Epée et bouclier en mains je courais au travers des serviteurs ennemis, esquivais leurs attaquent et me rendit directement à la salle du trône.

A peine ouvris-je la porte que mon coeur se meurtrit... Les autres Slayers étaient déjà là à combattre les gardes pendant que Drake savourait sa victoire proche. Les voyants faiblirent, j'entra bruillament et fonca tête baissé sur Drake. Il était accompagné d'un garde, mais peu importe je m'acharne sur lui! J'encaissais les coups difficilement, mais tenais debout et enchaînais ce que les Derniers*Chevaliers m'avaient appri.

Le combat était rude et long, mes potions commencaient à se faire rare, je devais lui donner un coup fatal. Alors que je prenais mon élan pour sauter et lui couper la tête, au moment de la frappe, Drake se téléporta..., et qui plus est avec la sphère de vie!

Quelle belle affaire. Je ne pouvais laisser seul les autres alors je les aide à tuer les derniers gardes. Et nous voilà repartit pour trouver Drake...

"Cela ne finirat-il donc jamais ?"

Me voilà repartit avec les Slayers, en espérant qu'un jour, peut-être, nous récupérerons la sphère de vie...
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MessageSujet: Re: Les périples de Chevaliers   Les périples de Chevaliers Icon_minitimeMer 15 Aoû - 5:40

Toluem : Périple Troisième :

Voilà plusieurs jour que j'avais essayé de rejoindre les slayers dans la montagne... Mais le lieu était trop dangereux pour moi, il me fallait apprendre plus de chose sur cette endroit avant de m'y aventurer, alors je pris la route vers le nord, dans l'espoir de rencontrer une âme en peine désireuse d'aide...

Pendant quelques heures de marche, je ne vis pas un habitant, pas un voyageur, mais une fois arrivé à Sarosa, le bain de foule m'immérgeat dans les profondeurs de l'acool. La boisson pourpre avait eu raison de moi et s'était enmpressée de me rendre îvre à en perdre le pas!

La nuit commencait à peine à repousser le jours quand, titubant dans le hall du chateau du roi, la princesse m'accosta tout aussi éméchet que moi et me disant: "Héps l'ami... Ne devions *hups* nous pas allez sur l'île des 5 sages ?"

Aussi-tôt dit, aussi-tôt fait! Trois quart d'heure de marche pour rejoindre le ponton et enfin nous partions en mer... J'vous raconte pas l'état maladife dans lequel nous êtions mais cela ne nous arrêta pas!

Ne reprenions petit à petit connaissance quand enfin l'entrée de la grotte se montra à nous! Nous connaissions le chemin par coeur, prîmes la barque et traversâmes le rapide sans emcombre. On avancait, on avancait toujours dans des endroits plus dangereux, encore plus dangereux que la montagne... L'alcool n'avait plus d'effet et je me rendis compte de l'absurdité de notre départ ; mais hélas il était trop tard pour faire demi-tour et nous êtions bloqué...

La princesse avait les pieds gonflés et ne pouvait plus marcher - encore moins courir - et moi je n'avais plus rien à manger, plus rien à boire, et plus d'herbe de guérison. Nous allions mourir là! Plus aucune issue plossible, c'était là fin!

Mais contre toutes attentes, un preu chevalier, sous le nom de RobigXIII avait eu vent, par des étrangers qui avaient su faire demi-tour, de mon désarroi et de celui de la princesse... Notre condamnation à mort!
Il arrivât essouflé par son lourd paquetage de vivre qu'il nous fit partagé et son long voyage tumultueux. Mais on était pas tiré d'affaire, il fallait que la princesse marche dans le sable, nous devions l'attendre (c'est la fille du roi quoi!). Alors que je lui montrais le chemin, Robig attirait tous les ennemis, les fourvoyait de son épée tranchante comme mille lame, nous protégait de son pavois, et prenait les coups à notre place!

On avancait tant bien que mal, une salle après une autre, puis une autre... La princesse n'en pouvait plus. Mais ce valeureux Robig continuait de nous proteger, j'en avais les larmes aux yeux de voir tant de dévotions pour la princesse et moi, un simple chevaliers encore tout jeune...

Quant enfin nous sortîmes de cette grotte, résiprer un grand bol d'air frais, je me mis à genoux et remercia du plus profond de mon coeur ce chevalier sans qui nous serions mort de faim et de fatigue avec la princesse...

Sans lui jamais je n'aurais été là pour vous raconter ceci, sans lui cela en était fini de moi...

Alors pour une dernière fois, MERCI ROBIGXIII!
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Chevalier_Benson
ça y est!Il a trébuché sur sa langue
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MessageSujet: Re: Les périples de Chevaliers   Les périples de Chevaliers Icon_minitimeMer 15 Aoû - 12:50

Oh! Le lecheur de bottes de Robig!!!
Fait attention de ne pas t'etouffé^^

Pour la naration, j'ai l'impression que tu t'es inspiré de Birdy (la façon dont elle raconte), mais que tu as apporté ta touche perso.
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